Année : 2015
Pays : USA
Catégorie(s) : Arrowverse, Policier, Super-héros.
Genre : En Terre étrangère.

Acheter la série : Amazon.



LA SÉRIE


Après une première saison consacrée à ses origines sur fond de voyages temporels et de modifications de l'histoire (Mais que fait Wecker?), Barry Allen alias Flash revient dans une saison 2 basée sur un autre concept très prisé des auteurs de SF, celui des mondes parallèles. Rien d'étonnant quand on sait que c'est justement le Flash du Silver Age qui l'avait introduit dans les comics DC!


Heureusement que le Pr Stein est là pour nous en expliquer le principe.

En effet, en 1961, alors que Barry Allen existe depuis près de 5 ans, les auteurs ont envie de l'associer à son prédécesseur du Golden Age, Jay Garrick. Seul problème: sa toute première aventure avait clairement établi que Jay était un personnage de comics dont Barry lisait les exploits. D'où l'idée brillante d'expliquer que Jay, et par extension tous les personnages DC du Golden Age, vivent sur une Terre parallèle, Terre-1, justifiant ainsi le fait que Superman, Batman, Wonder Woman et leur entourage n'avaient pas pris une ride depuis l'époque où ils combattaient les forces de l'Axe, tout en permettant aux auteurs d'explorer des pistes qu'ils ne pouvaient exploiter dans les séries régulières, comme Batman épousant Catwoman avant d'avoir une fille qui devient à son tour justicière sous le nom de Huntress.


La rencontre des deux Speedsters a lieu dans Flash 123 ...


... dont une scène d'un épisode reproduit la couverture iconique.

Mais revenons à la version live où, quelques mois après qu'un trou noir a failli détruire la ville, Central City organise un Flash Day pour honorer celui qu'elle considère comme son sauveur. Le principal intéressé ne s'estime pourtant pas digne de cette gratitude puisque ses deux seules victoires de la saison 1 sont dues aux sacrifices de deux de ses meilleurs amis: Eddie Thawne qui s'est suicidé pour empêcher l'existence de son descendant criminel Eobard Thawne alias Harrison Wells alias Reverse-Flash et Ronnie Raymond qui est mort en détruisant le trou noir de l'intérieur.


La célébrité de Flash lui vaut d'avoir son propre fanclub ...


... ainsi que des jouets à son effigie.

Barry se rend quand même à la cérémonie organisée en son honneur et y est attaqué par Atom Smasher, un méta-humain capable d'accroître sa taille et en qui il a la surprise de reconnaître Albert Rothstein, un ouvrier assassiné quelques jours auparavant.


Est-ce à cause de leur couleur verte que les déchets radioactifs dont se nourrit Atom Smasher ...


... lui font le même effet que les épinards?

Peu après, Barry et ses amis de S.T.A.R. Labs reçoivent la visite d'un certain Jay Garrick qui prétend venir d'un monde parallèle, Terre-2, où il était l'équivalent de Flash avant de perdre ses pouvoirs. D'après lui, Atom Smasher vient de cette autre Terre qui communique désormais avec la leur via une des 52 Brèches que le trou noir a ouvert entre les deux. Par la suite, d'autres super-vilains de Terre-2 débarquent pour affronter Barry sur ordre de Zoom, un Speedster malfaisant qui souhaite s'approprier sa vitesse. L'aide de Jay qui connaît bien ces nouveaux adversaires que l'équipe de S.T.A.R. Labs surnomme "Breachers" sera bien utile pour les combattre.


Quand un Flash rencontre un autre Flash.


L'armée méta-humaine de Zoom.


Pour ne rien arranger, certains Breachers sont des doubles d'amis de Flash.


Mais c'est moi, ça!


Libérééééée, délivrééééée!


Il va lui falloir un plus gros flingue.

Si en tant que Speester criminel plus rapide que Barry, Zoom ressemble beaucoup à Reverse-Flash sur le papier (D'ailleurs, dans les comics, Zoom était à l'origine un alias de ce dernier), il fait passer son prédécesseur du futur pour un enfant de chœur. En effet, aussi malfaisant était-il, Reverse-Flash n'était pas du genre à tuer gratuitement tandis que Zoom est un tueur en série mesurant sa réussite à son nombre de victimes. Même son costume est nettement plus effrayant avec sa couleur noire et son masque évoquant une tête de mort qui dissimule entièrement ses traits, sans parler de la voix sépulcrale que lui donne Tony "Candyman" Todd.


Il est assez effrayant de loin, inutile de zoomer davantage.


Leur premier affrontement se termine très mal pour Barry qui aura du mal à s'en remettre, aussi bien physiquement que psychologiquement.


Attrape-moi si tu peux!

En plus de Jay Garrick, Barry bénéficie de l'aide d'un autre allié pour le moins surprenant puisqu'il s'agit de Harrison Wells, ou plutôt de son double de Terre-2 qui veut délivrer sa fille Jesse, prisonnière de Zoom. L'occasion pour Tom Cavanagh de prouver ses talents d'acteur en incarnant un personnage très différent de celui qu'il jouait dans la saison précédente.


Je suis le double du vrai Harrison Wells qui a été tué par le faux Harrison Wells qui était en réalité un criminel venu du futur. Et si vous trouvez ça compliqué, dites-vous qu'on n'en est qu'à la saison 2.


Zoom retient captifs Jesse Wells ...


... et un mystérieux homme au masque de fer.

Et puisqu'on parle d'Eobard, la mort de son ancêtre a beau l'avoir effacé de la réalité, toutes ses actions avant sa disparition restent inchangées (Autrement, la mort de la mère de Barry aurait été annulée) et Flash le recroise à deux reprises via le voyage dans le temps, que ce soit quand un Eobard plus jeune se retrouve à son époque où quand Barry remonte le temps pour lui demander s'il ne connaîtrait pas un moyen d'accroître suffisamment sa vitesse pour affronter Zoom.


À trop voyager dans le temps, Barry attire l'attention des redoutables Time Wraiths qui traquent les Speesters modifiant le cours de l'histoire.

Si le paradoxe temporel justifiant la réapparition d'Eobard repose sur des règles simples, ça se complique quand les auteurs tentent de l'appliquer à Zoom pour expliquer le twist de sa véritable identité et le fait qu'à plusieurs reprises, lui et son alter-ego se trouvaient simultanément à deux endroits différents, voire sur deux Terres différentes. On apprend ainsi que l'un des deux est un Time Remnant, c'est à dire un double récupéré par l'autre dans son propre passé. Bon, pourquoi pas, il suffirait que le double revienne ensuite à son époque d'origine pour reproduire les actions de l'original. Sauf que non seulement l'original tue le double sans en être affecté, mais il parlera ensuite des actions et souvenirs du double comme si c'était les siens! Tout ça sent l'explication improvisée à la dernière seconde quand les scénaristes se sont rendus compte qu'ils avaient trop bien travaillé leur fausse piste et qu'il n'y avait aucun moyen cohérent de justifier l'ubiquité du super-vilain.


Avec les doubles, c'est jamais simple.

Outre son intrigue principale, cette saison 2 de Flash, tout comme la saison 4 d'Arrow diffusée simultanément, met en place les personnages principaux de la nouvelle série du Arrowverse, Legends of Tomorrow. On voit ainsi le super-vilain Captain Cold évoluer en un anti-héros dissimulant mal sa sympathie pour Barry Allen quand ce dernier l'aide à sauver sa sœur à qui leur père (Incarné par Michael Ironside, toujours parfait dans les rôles de salopards) a greffé une bombe pour obliger son fils à l'aider dans ses méfaits, sinon Boum!


Ils semblent pourtant toujours en froid.

Il y a aussi Martin Stein que la mort de Ronnie Raymond a rendu instable et qui se cherche un nouveau binôme avec qui fusionner en Firestorm.


Stein fait passer des auditions.


Le premier candidat tourne mal.


Il a plus de chance avec le suivant, Jefferson Jackson.

Et enfin, il y a le crossover annuel avec Arrow dans lequel Kendra Saunders, une barista draguée par Cisco Ramon se révèle être la réincarnation de la prêtresse égyptienne Chay-ara que recherchent d'une part son amour de l'époque, le prince Khufu qui s'est réincarné en Carter Hall alias Hawkman alias le super-héros à la continuité la plus bordélique du monde, et d'autre part Vandal Savage, un immortel qui assassine les deux tourtereaux ailés à chaque réincarnation et qui sera l'antagoniste principal de la première saison de Legends.


Une barista angélique.


Trop, peut-être.


Ben quoi? Vous n'avez jamais vu une réincarnation de prince égyptien avec des ailes rétractables?


Vandal Savage a l'intention de leur voler dans les plumes.

Et puisqu'on parle de crossover, il y en a aussi un avec Supergirl dont les aventures avait débuté la même année mais sur une chaîne différente et qui agit donc sur une autre Terre parallèle. Ce crossover est cependant discret puisqu'on voit juste Barry disparaître dans un portail alors qu'il teste un moyen d'accroître sa vitesse, pour réapparaître aussitôt après en se demandant combien de temps il a été absent et il faut regarder l'épisode correspondant de Supergirl pour découvrir qu'il s'était involontairement rendu sur la Terre de super-icelle.


Le voyage de Barry et ses compagnons vers Terre-2 est l'occasion de caser de nombreux clins d'œil: le Flash des 90s, Supergirl, le cowboy Jonah Hex qui sera un personnage récurrent de Legends of Tomorrow et un anneau de la Legion of Super-Heroes.


Clin d'œil également avec les prénoms de Batman, Green Lantern et Wonder Woman sur ce téléphone de Terre-2.


Bruce Wayne va réclamer des droits d'auteur à Barry.

Si cette deuxième saison introduit de nombreux nouveaux super-héros et super-vilains, elle n'en oublie pas pour autant l'entourage civil de Barry Allen en lui offrant une amourette avec sa collègue Patty Spivot, policière perspicace poursuivant avec persistance le méta-humain meurtrier de son père ...


Je vous présente Pattty qui sera mon love interest pour cette saison.

... et en agrandissant la famille West quand Joe, le père adoptif de Barry, se découvre un fils caché en la personne de Wally dont les fans de comics se doutent qu'il est appelé à devenir à son tour un Speedster. En effet, dans les comics, Wally West (qui y est le neveu d'Iris West et non son frère) est l'identité civile de Kid Flash, un personnage créé en 1960 dans Flash 110 pour être le jeune sidekick du super-héros éponyme avant de reprendre son identité après sa mort supposé dans la maxi-série Crisis on infinite Earths. De par sa personnalité et en tant qu'afro-américain, le Wally West de la série TV est toutefois plus proche du Kid Flash de New 52, pourtant très décrié. Ce choix pourrait s'expliquer par le fait que, comme je l'avais expliqué dans mon dossier sur la saison 1, la personnalité du Barry Allen version TV s'inspire beaucoup de celle du premier Wally West. Les auteurs auraient donc adapté le deuxième pour éviter le double emploi.


Salut, je suis votre fils caché. Je peux squatter votre série?



BILAN


Concept = 4 / 5
Cette saison reprend la formule qui avait fait le succès de la précédente avec un mélange d'action super-héroïque et de SF, abordant cette fois le thème des mondes parallèles.



Scénario (Intrigue principale) = 3 / 5
L'intrigue est prenante et efficace mais reprend la trame de la précédente avec un antagoniste doté des mêmes pouvoirs que le héros en plus puissants et qui se révèle être son ami et mentor. En outre, l'explication de l'ubiquité de Zoom est bancale, en plus de générer des incohérences, donnant l'impression qu'elle a été improvisée à la dernière seconde.



Scénario (Épisodes) = 3,8 / 5
Malgré les gros ratages du crossover avec Arrow et de l'épisode 16, la qualité est au rendez-vous et on a droit à un guest de choix en la personne de Kevin Smith, réalisateur réputé et geek notoire. (Voir la section Épisodes pour plus de détails. La moyenne est arrondie à la décimale la plus proche.)



Humour = 5 / 5
La série continue de contrebalancer efficacement ses moments sérieux avec une bonne dose de fun et de dialogues riches en humour et en références geeks.



Héros = 5 / 5
Même s'il a encore besoin à l'occasion des conseils d'un mentor, Barry est bien plus expérimenté dans cette saison qui lui permet de s'émanciper et de faire ses preuves en triomphant de son adversaire principal par ses propres moyens, tout en s'efforçant de garder son positivisme malgré les tragédies qui se multiplient autour de lui.



Costume = 4 / 5
L'emblème plus fidèle à celui des comics représente une nette amélioration mais les défauts de la saison précédente persistent: teinte trop sombre (un comble pour un super-héros qui se veut lumineux et positif!) et mélange moyennement esthétique de textures différentes.



Pouvoirs et points faibles = 4,5 / 5
L'expérience venant, Flash maîtrise de mieux en mieux ses pouvoirs et continue d'en trouver de nouvelles applications. Dommage que le principe des Time Remnants n'ait aucun sens.



Autre(s) super-héros = 4 / 5
Cette saison introduit un nouveau Firestorm et un autre Flash incarné par l'interprète original du personnage tout en faisant évoluer Cisco Ramon en un super-héros nommé Vibe mais le surhomme le plus marquant est Jay Garrick (2) (Flash (3)), personnage attachant et sympathique dont le twist sur la véritable nature est autant un choc pour les personnages que pour le spectateur.



Allié(s) = 4,5 / 5
Caitlin Snow (4 / 5) reste fidèle au poste et à elle-même malgré ses déboires pour le moins traumatisants (Perte de deux êtres chers, séquestration par un un tueur en série énamouré, rencontre avec son double malfaisant ... Il y en a qui ont fini sous antidépresseurs pour moins que ça!) et le nouveau Harrison Wells (5 / 5) est une réussite en tant que personnage moralement ambigu motivé par son désir de protéger sa fille et ses chamailleries avec Cisco sont savoureuses.



Entourage civil = 4,1 / 5
Les pères biologique (Henry Allen (5 / 5)) et adoptif (Joe West (5 / 5)) de Barry sont toujours aussi attachants tandis que son love interest Iris West (3,5 / 5) est un peu plus intéressante maintenant qu'elle connaît sa double identité. Quant aux nouveaux venus que les scénaristes positionnent comme de potentiels futurs Speedsters, à savoir Wally West (3,5 / 5) et l'ado rebelle et surdouée Jesse Wells (3,5 / 5), ils ont du potentiel et on est curieux de connaître leur évolution, même si le premier recycle le schéma de Roy Harper dans Arrow: un jeune un peu marginal et égoïste au départ qui décide de devenir une meilleure personne après avoir été secouru par le héros.



Personnages secondaires = 2,9 / 5
On n'échappe pas aux inévitables victimes du jour interchangeables et à des personnages honteusement sous-exploités (Floyd Lawton (2) est réduit à un running gag (Il est nul en tir alors que son double est un tireur d'élite, LOL!) avant d'être prestement occis, Tanya Lamden ne sert à rien alors qu'elle est la veuve du double du méchant du jour, Eric Larkin est sacrifié et son remplaçant, Scott Evans, qui avait pourtant du potentiel en tant que rédac'chef cynique convaincu que Flash est un imposteur n'apparaît que dans deux épisodes où il a une romance aussi forcée qu'aussitôt oubliée avec Iris), mais on a heureusement de bons personnages comme Francine West, l'immonde Lewis Snart, une Iris West (2) nettement plus badass que son double ou un Joe West (2) à la mort touchante. Même les love interests secondaires de Barry sont bien exploitées: Linda Park est très fun quand elle tente de se faire passer pour son double et Patty Spivot a un très bon arc avec sa vendetta contre l'assassin de son père.



Antagonistes principaux = 3,3 / 5
Bien qu'il fasse redite par rapport à Reverse-Flash (Un Speedster plus rapide que le héros et se faisant passer pour son ami et mentor) et que l'explication de son ubiquité ne tienne pas la route, Zoom est un ennemi efficace et terrifiant (Plus en costume qu'en civil pour ce dernier point).



Autres antagonistes = 3,4 / 5
Certains ennemis de la première saison ont droit à des développements qui les humanisent (Grodd, Captain Cold) voire leur offrent une possibilité de rédemption (Pied Piper). Quant aux nouveaux venus, si certains sont intéressants (Turtle, Tar Pit, Dr Light), voir excellents (Griffin Gray), beaucoup sont creux et oubliables faute de temps pour les développer (Atom Smasher, Geomancer) alors que certains avaient du potentiel que les scénaristes ne font que survoler avant de les supprimer trop tôt (Trajectory, Rupture). Le fait que beaucoup soient des doubles de "gentils" permet à leurs interprètes de montrer leurs talents d'acteurs en incarnant des personnages diamètralement opposés. (Voir la section Antagonistes pour plus de détails. Les moyennes sont arrondies à la décimale la plus proche.)



Décors = 5 / 5
Terre-2 est une réussite visuelle. Partant du principe que dans les comics, elle était la Terre des héros du Golden Age, les créatifs lui donnent un aspect rétro et art déco évoquant cette période allant de la fin des 30s à celle des 50s.



Technologie = 5 / 5
Les nombreuses machines et gadgets de Terre-1 continuent d'être crédibles et fonctionnels tandis que la technologie de Terre-2 joue la carte du rétro-futurisme, toujours en accord avec les comics du Golden Age.



Casting = 5 / 5
Grant Gustin continue d'être parfait en jeune super-héros positif.



Combats = 5 / 5
Désormais plus expérimenté, Flash triomphe de plus en plus souvent de ses ennemis sans aide, en exploitant les nombreuses possibilités que lui offrent ses pouvoirs et en en découvrant de nouvelles.



Effets spéciaux = 4,5 / 5
Même si on n'échappe pas à quelques ratés heureusement rares (La scène du sauvetage de Christina McGee est à peine digne d'une cinématique de jeu vidéo d'il y a 20 ans!), ils sont d'une excellente tenue et souvent bluffants.



Musiques = 5 / 5
Blake Neely est très inspiré sur cette saison, particulièrement pour le thème "à la Jaws" de Zoom qui renforce son côté prédateur menaçant.



Générique(s) = 3 / 5
Comme le veut la tradition des séries de l'Arrowverse, chaque épisode s'ouvre sur un monologue de Barry Allen présentant la série aux spectateurs: "My name is Barry Allen, and I am the fastest man alive. To the outside world, I'm an ordinary forensic scientist, but secretly, with the help of my friends at S.T.A.R. Labs, I fight crime and find other meta-humans like me. I hunted down the man who killed my mother but in doing so, I opened up our world to new threats and I am the only one fast enough to stop them. I am the Flash!" = "Mon nom est Barry Allen et je suis l'homme le plus rapide du monde. Pour le monde extérieur, je suis un simple légiste mais en secret, avec l'aide de mes amis à S.T.A.R. Labs, je combat le crime et rencontre d'autre méta-humains comme moi. J'ai traqué l'homme qui avait tué ma mère mais en faisant ça, j'ai ouvert notre monde à de nouvelles menaces et je suis le seul assez rapide pour les arrêter. Je suis Flash!" Le tout est illustré par des extraits de la série choisis avec pertinence, ceux montrant les méta-humains qu'il affronte ou auxquels il s'allie changeant à chaque épisode.


On a ensuite le début de l'épisode, suivi d'une séquence animée faisant apparaître et disparaître le titre entre deux éclairs.


Enfin, les logos de DC et de Warner qui apparaissent après les génériques de fin des séries de l'Arrowverse ont droit à des séquences animées qui, dans le cas de Flash, les font se déplacer à super-vitesse sur fond d'éclairs et de couleurs rouge et or rappelant celles du costume du héros.




NOTE FINALE = 16,8 / 20